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Braver le froid pour oublier la pandémie

Publié le 4 janvier 2022 à 15:59, modifié le 4 janvier 2022 à 16:44

Par: Patrick Giguère

Les centres plein air et patinoires de la Baie-des-Chaleurs ont été pris d’assaut aujourd’hui par les familles. Le ressenti de moins 29 était loin de ralentir les ardeurs des jeunes et moins jeunes. Nombreux étaient ceux qui s’étaient habillés chaudement afin de profiter de cette journée froide, mais ensoleillée.

En plein congé scolaire, ils étaient plusieurs à s’être donner rendez-vous en cette journée froide. Glissade, ski de fond ou simplement prendre le grand air, nombreux étaient ceux qui avaient enfilé leur habit de neige.

«J’ai une garderie, mais je n’ai pas d’enfants qui sont présents aujourd’hui. Je viens me changer les idées», raconte Lany Boudreau-Leblanc.

«Un coup qu’on décolle, on se réchauffe, ça va bien », dit Gaétan Lévesque avec un sourire aux lèvres.

Alors que le gouvernement n’a pas encore statué sur le sport extérieur, tous les sportifs, essaient de profiter des conditions idéales pour pratiquer leur loisir préféré.

«C’est surtout pour se garder en forme et respirer le bon air. Il ne devrait pas en avoir de COVID dans les arbres, on devrait être correct», avance George Fournier.

«Quand le sport est dans nos vies, tout va bien (…) Les pistes sont parfaites. En fait, je suis venue à tous les jours depuis les deux dernières semaines, c’est vraiment fabuleux», observe Josée Martin, une skieuse rencontrée au centre plein air de Maria.

Pendant que certains attachaient leurs skis, d’autres enfilaient leurs patins pour la première fois. C’est le cas de Christine Porlier et de ses deux filles.

«C’est une après-midi de filles. On n’a laissé les gars à la maison. On commence à apprendre à patiner tranquillement» , lance la mère.

Bâton à la main, pour Éliot ,13 ans, et ses amis, rien ne vaut un détour à la patinoire pour compter des buts et se changer les idées.

«On vient profiter du beau temps. On trouvait que c’était une belle journée pour ça. C’est comme une façon de sortie de la zone de pandémie», souligne l’adolescent.