Ils sont sans contrat de travail depuis 2018. En vue de la signature d’une nouvelle entente, ils réclament les mêmes bénéfices que leurs autres confrères responsables de l’exécution de la loi en ce qui a trait au régime de pension, la protection contre le harcèlement et la discrimination au travail. Ils se disent prêts à reprendre les pourparlers avec leur employeur et soutiennent que la grève est le dernier recours pour tenter de faire aboutir les négociations.

«On s’attend à avoir un mandat très fort de nos membres qui appuient la grève. Ces enjeux-là c’est une priorité pour nous dans cette ronde de négociation, c’est pas une question d’argent cette fois-ci, c’est une question de bénéfices et d’être traités comme les autres agences d’exécution de la loi au fédéral», a souligné Joey Dunphy, douanier à Edmundston et 3^e Vice-président national, Syndicat des douanes et de l’immigration.

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