Le Site de la rivière Émeraude de nouveau accessible
Publié le 22 juin 2021 à 17:46, modifié le 22 juin 2021 à 17:47
Par: CIMTCHAU
Le site de la Rivière Émeraude est de nouveau accessible aux marcheurs et plaisanciers.
Alors que plusieurs vacanciers ont dû rebrousser chemin, l’an dernier dû à la fermeture du site, le site de la Rivière Émeraude peut recommencer à accueillir des visiteurs.
« C’était tellement attendu, depuis l’année dernière avec la fermeture, qu’on a dû faire en raison de la COVID, mais aussi parce qu’il y avait la notion de sécurité. On savait qu’il y avait des travaux faire », exprime Marie Leblanc , directrice promo touristique et culturelle, Percé.
Malgré les derniers travaux en cours, plusieurs habitués et vacanciers de régions éloignées étaient présents pour admirer le panorama.
« Oui, je vis à Québec , c’est la nature, la beauté, la couleur de l’eau », nous confit une touriste.
« On vient faire notre petit tour, toutes les années , c’est très bien, c’est beaucoup plus confortable qu’avant avec les nouveaux aménagements » , constate un habitué des lieux.
La municipalité de Percé souhaite développer un parc municipal au cours des prochaines années. La première phase des travaux est maintenant terminée.
« C’était pour sécuriser le site, pour préserver la nature, l’intégrité de la nature aussi, car il y avait aussi toute la gestion des déchets . De plus , l’escalier, qui était quand même assez abrupt a été refait, l’accès également a été refait, le stationnement a été nivelé, tout le parcours d’accès au site a été retravaillé » nous explique Marie Leblanc.
Une attention sera portée en haute saison pour le respect de la distanciation physique.
« Ça peut arriver, possiblement, lors du moment fort de la saison, qu’on est à restreindre le nombre de visiteurs, mais c’est quand même un site qui est assez vaste », précise madame Leblanc.
La deuxième phase d’envergure est prévue vers 2024.
« On est en train de travailler sur un projet de concours d’architecture »
« On veut que le site soit unique, que ce ne soit pas quelques choses qu’on retrouve ailleurs », conclus Marie Leblanc.