Il est précisé dans le rapport que la victime n’avait aucun antécédent qui aurait pu contribuer à son accident ou à son décès. Toutefois, Renée Roussel mentionne que les décisions qu’elle a prises ce jour-là y ont grandement contribué.

Selon le rapport, plusieurs facteurs ont eu un impact direct avec son décès. Tout d’abord, les conditions météorologiques puisque la chaussée était glissante et en raison de la neige la visibilité était réduite. Ensuite, le non-respect de plusieurs règles de sécurité de la part de Stéphanie Boutot, elle qui ne portait que du linge de couleur noir sans bande réfléchissante. Elle était également au téléphone avec des écouteurs dans les oreilles. Finalement, le conducteur du chasse-neige a été ébloui par une voiture en sens inverse. Par conséquent, il a aperçu la victime à la dernière seconde.

Par ailleurs, un examen des heures de travail et de repos du chauffeur a été effectué. L’homme expérimenté respectait les règles en vigueur. La déneigeuse était également conforme, elle qui a été soumise à des tests d’inspections. Au final, Stéphanie Boutot est décédée d’un polytraumatisme, principalement au crâne et à la poitrine.