Le comité organisateur considère qu’il s’agit d’un nouveau départ et non d’un faux départ. La confiance est palpable concernant la présentation de la compétition l’hiver prochain de là l’idée du nouveau slogan «RDL 2022 / Oui, ça se peut». La directrice générale du comité organisateur veut une finale grandiose avec la présence de spectateurs en grand nombre.

«On veut que les jeunes qui seront présents vivent une expérience extraordinaire. Que les parents puissent être sur place pour encore leurs athlètes. Les jeunes s’entraînent tellement fort pendant toute l’année»

Alexis Marceau, Cindy Ouellet, Zachary Émond et Leïla Beaudoin ont été choisis comme ambassadeurs. Ayant chacun eu à faire face à des embûches dans leur carrière, ils sont en bonne position pour passer des messages d’espoir pour les jeunes athlètes.

«Le sport, c’est ce qui va nous permettre de recommencer à vivre», a expliqué le patineur de vitesse, Alexis Marceau, durant la conférence de presse.

«Je voulais juste vous lancer un petit message de ne pas lâcher, je sais que ce n’est pas évident présentement», a commenté la paralympienne, Cindy Ouellet.

«Vous pouvez avoir confiance de pouvoir être en mesure d’avoir des compétitions en 2022», a expliqué le gardien des Sea Dogs de Saint-Jean, Zachary Émond.

«Je pense qu’on a fait notre part et je pense qu’on est capable de dire que les prochains Jeux du Québec vont pouvoir avoir lieu», a raconté la boxeuse professionnelle, Leïla Beaudoin, en message d’espoir aux athlètes.

La présentation d’un plan de déconfinement sportif complet par Québec la semaine prochaine a fait plaisir aux intervenants qui souhaitent que les athlètes se présentent à Rivière-du-Loup au sommet de leur art.

«On veut que les jeunes puissent recommencer à s’entraîner en groupe, parce que souvent ils s’entraînent présentement de manière individuelle de même d’avoir une reprise des compétitions, parce que les jeunes doivent se qualifier pour pouvoir venir», a ajouté Karine Malenfant.

«Un coup les gens vaccinés, on va pouvoir recommencer vivre. On sait que les jeunes ont continué de s’entraîner. Il y a beaucoup d’espoir à ce niveau et les jeunes sportifs se battent présentement pour avoir plus d’espaces être capables de faire leur sport. Je suis fière d’eux», a commenté la mairesse de Rivière-du-Loup, Sylvie Vignet.

Tous les partenaires financiers ont confirmé leur retour pour appuyer cet événement qui pourrait être le premier d’envergure au Québec après la pandémie.