Raphaël Bussières est un golfeur dans l’âme, une passion transmise par son père dès son jeune âge. Il passe une grande partie de ses étés sur des terrains de golf avec parents et amis. Un sport qui a grandement aidé l’athlète de 26 ans dans sa carrière de hockeyeur.

«Je suis un joueur de hockey, j’étais habitué plus jeune de faire des tirs frappés, c’était quand même naturel de jouer au golf. Je frappais la balle assez loin et j’ai tout de suite eu la piqûre. On a continué à y aller de semaine en semaine avec mon père. Ça finit qu’on y allait pratiquement à chaque jour un moment donné», a raconté Bussières.

 En jouant au golf, tu peux voir certains aspects et qualités que tu peux développer et amener au hockey?

«Le golf aide beaucoup pour la patience et la force du mental. Le golf c’est un jeu difficile mentalement. Tu manques un coup au golf, il ne faut pas que tu décourages parce que c’est certain que tu vas manquer ton prochain coup. Tu peux transférer ça au hockey quand tu vas faire une mauvaise présence, ça t’aide à passer à autre chose, donc ce sont deux sports qui se jumèlent bien», a-t-il ajouté.

 Tu as eu la chance de voyager avec le hockey, le golf c’est assez impressionnant en Angleterre et tu as eu la chance de jouer-là et sur des parcours assez prestigieux?

«Surtout des parcours différents en Angleterre, alors qu’il vente beaucoup sur les terrains et ils sont plus longs. Il a fallu que je m’adapte, c’est du golf complètement différent. J’ai la chance de visiter le vieux terrain du Saint-Andrews ou est-ce qu’il y a de gros tournois de la PGA avec mon équipe de hockey. C’était une journée mémorable, on a pu visiter tout le site. Ce sont de belles expériences, j’ai joué sur de beaux terrains, c’est vraiment de plus beaux terrains qu’au Québec. J’ai vraiment eu droit à de belles expériences de golf », a-t-il souligné.