Une mauvaise blague lui provoque un stress post-traumatique
Publié le 10 octobre 2019 à 11:51, modifié le 10 octobre 2019 à 11:51

Alimentation Lebel de La Pocatière n’aura plus besoin d’assumer les coûts d’un accident de travail subi par l’une de ses caissières. La femme a subi un choc post-traumatique en novembre 2013, qui lui a donné droit à des prestations de la CNESST.
Suzie Rivard s’est fait jouer un mauvais tour par un collègue. Ce dernier s’était cagoulé et avait simulé un vol à main armée. La femme aura été en arrêt de travail pendant trois ans.
L’épicerie trouvait injuste de devoir payer entièrement les frais pour cet incident qui était hors de son contrôle.
Le tribunal administratif du travail a statué que toutes les entreprises du Québec devront contribuer aux prestations de la CNESST.