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Vincent Couture de retour à la présidence de la circonscription

Publié le 18 novembre 2018 à 11:57, modifié le 18 novembre 2018 à 11:57

Par: Communique de presse

C’est devant plus d’une quarantaine de bénévoles réunis dans le cadre d’une activité de reconnaissance que Vincent Couture a annoncé qu’il acceptait de reprendre la présidence de l’association de circonscription de Rivière-du-Loup–Témiscouata. « C’est avec honneur que je réintègre ce poste. Je tiens à remercier Alexandre April notre vice-président, qui a su assumer avec brio l’intérim de la fonction depuis le printemps » de déclarer Vincent Couture. Il a aussi souligné l’implication de la centaine de bénévoles qui a œuvré au cours de la campagne.

Monsieur Couture a souligné qu’il souhaitait s’assurer que les citoyens du Témiscouata, des Basques et de Rivière-du-Loup soient bien représentés à l’Assemblée Nationale. «Le Parti Québécois, est le plus représentatif dans l’Est-du-Québec. Nous suivrons chaque dossier avec rigueur. L’opposition officielle dans le comté, c’est nous! » de poursuivre Vincent Couture.

Monsieur Couture déplore l’atmosphère politique dans la circonscription: « Certes, il est plus que déplorable que le député sortant n’ait laissé aucun document au député élu. Cela va à l’encontre du bien commun ». Dans un même ordre d’idée, le président a rappelé que Monsieur Tardif s’est fait élire en promettant de faire de la politique autrement. Or, ses premières actions ont eu un effet de division: sa sortie récente qui avait toutes les apparences d’une charge contre le conseil municipal de Temiscouata-sur-le-Lac, ou l’épineux dossier, où il a nommé puis désavoué André Beaulieu comme attaché politique du Témiscouata alors qu’il est conseiller municipal à Rivière-du-Loup.

« Dans le dossier de l’aréna, nous l’avons souligné en campagne, il faut travailler de concert avec tous les acteurs. Jeter de l’huile sur le feu ne servira personne. Faire de la politique autrement, c’est rallier le plus de monde possible, pour que notre région continue à avancer dans la bonne direction, en progressant et en se développant. Je souhaite vivement que monsieur Tardif  respectera cet engagement qu’il a pris. Nous sommes en 2018, les guerres de clocher n’ont plus leur raisons d’être » de conclure le président.