L’entreprise basée à l’Anse-à-Beaufils évite ainsi une fermeture.

En assemblée aujourd’hui, les créanciers non-garanti ont accepté à 74% de recevoir 250 mille dollars sur une période de cinq ans.

Quant à ceux garantis, ils ont revu à la baisse le montant qu’ils allaient recevoir de la microbrasserie gaspésienne.

Les tarifs douaniers, le prix de l’aluminium, et la naissance de plusieurs autres compétiteurs ont rattrapé les actionnaires.

L’entreprise de l’Anse-à-Beaufils s’est placée à l’abri de ses créanciers il y a quelques semaines puisqu’elle a accumulé des dettes de 7,7 millions de dollars.

Un plan de redressement est en cours.