« Cette campagne a été une expérience incroyablement enrichissante. J’ai appris énormément et j’ai apprécié chaque instant passé avec les électeurs. Ces rencontres m’ont permis de mieux comprendre leurs préoccupations et de constater à quel point ils sont engagés dans l’avenir de leur région », déclare-t-il.

Parmi les nombreux échanges qu’il a eus, une rencontre l’a particulièrement marqué : celle avec les membres de l’Union des producteurs agricoles (UPA) de la région. « C’était un moment exceptionnel. J’ai été impressionné par la passion et la détermination de ces producteurs, qui s’efforcent d’offrir des produits de qualité. Je veux les soutenir et les aider à continuer dans cette voie », précise-t-il.

Le candidat conservateur met en avant le plan ambitieux de son parti, qui vise à redonner plus aux citoyens, soutenir les entrepreneurs locaux et dynamiser l’économie. Selon lui, le Parti conservateur se distingue par sa volonté de protéger l’autonomie du Québec tout en valorisant son identité et sa langue. « Il est essentiel que le Québec soit mieux représenté à Ottawa. Plus de Canadiens, et particulièrement de Québécois, doivent être présents pour renforcer l’influence du Québec dans les décisions nationales », explique-t-il.

Il critique également le projet des libéraux, qu’il considère comme centralisateur. « Leur bilan est catastrophique, et ce projet a été soutenu par le Bloc Québécois », déclare-t-il fermement.

Le candidat conservateur évoque aussi des enjeux cruciaux pour les électeurs, tels que la crise du logement et la gestion des travailleurs immigrants. L’homme garde la tête haute, peu importe l’issue du 28 avril prochain. Il demeure confiant de l’emporter, alors que son parti mène de 1 % devant le Bloc, selon les projections de Canada338.