41 postes avaient aussi été abolis l’automne dernier. D’autres compressions sont à prévoir. Ces coupures sont celles autorisées par Santé Québec pour le moment.

La direction n’a pas précisé les départements touchés. Les postes cliniques ne seraient pas affectés pour l’instant, mais les syndicats se disent préoccupés.

« Dans notre accréditation syndicale, il n’y a rien qui dit encore ça représente combien de postes qui vont être touché on les dénonce tous ces coupures-là parce qu’indirectement, c’est l’anxiété des employés. Peu importe le poste, peu importe la légende syndicale c’est un stress au niveau de la population, parce qu’indirectement les services seront coupés suite à ça », explique Martin Bérubé, vice-président du syndicat du personnel de bureau, des techniciens et professionnels de l’administration du CISSS du Bas-Saint-Laurent.

« Ça ne toucherait pas des postes d’infirmier, infirmière et inhalothérapeute. Par contre on sait que si on coupe des agents administratives sur des départements, c’est tâches-là, administratives, tombent dans les bras des infirmières et infirmière sur les départements », continue Claude-Brendon Sirois, secrétaire-trésorier de la FIQ du Bas-Saint-Laurent.