Pour l’instant, deux voitures circulent sur le territoire de Caraquet. Le service offre également des transports en dehors de la ville. Un projet qui mijotait dans la tête du propriétaire depuis un an.

« Il y a un excellent marché dans la région. On est tout seul jusqu’à date. Il n’y a pas de compétition. Toutes les portes sont ouvertes. C’est super positif jusqu’à date. On est heureux d’être ici et on va rester ici. » – Roland Haché, propriétaire de GoTaxi

Le propriétaire est agréablement surpris de la demande et de la rétroaction depuis son arrivée.

« Je suis ébloui de tous les commentaires positifs. Les gens viennent nous voir. Ils demandent de l’information. Beaucoup de réservations. Plusieurs compagnies ont embarqué avec nous, déjà. Ça fait que c’est excellent. Je ne peux pas demander mieux que ça. » – Roland Haché, propriétaire de GoTaxi

Selon monsieur Haché, la Ville de Caraquet l’a accueilli à bras ouverts, ce qui a favorisé l’aboutissement du projet. Tout n’est pas rose cependant, car la péninsule acadienne offre son lot de difficultés.

« Le plus grand défi dans la péninsule acadienne, tout le monde le sait, c’est la distance entre le point A et le point B. Si tu restes à Petite-Lamèque, tu veux un taxi de Caraquet, ça coûte un peu plus cher. N’empêche que le service est là pour ceux qui en ont besoin. » – Roland Haché, propriétaire de GoTaxi

Le propriétaire explique que la demande est bien réelle un peu partout dans la péninsule.

« Shippagan, comme à Tracadie, comme à Caraquet même. La seule lacune qu’il y a, c’est le temps pour se rendre. Je ne peux pas avoir des autos partout en même temps. Faudrait que j’aie dix autos dans la péninsule. Faut qu’on commence doucement pour être capable d’avancer. » – Roland Haché, propriétaire de GoTaxi

Une troisième voiture devait arriver dans un avenir proche pour répondre à la demande.