Les dirigeants ont souligné vendredi dernier ce 20^e anniversaire. Ils sont fiers d’affirmer que l’usine de transformation de porc à Rivière-du-Loup est à la fine pointe de la technologie et répond aux normes les plus élevées de bien-être animal.

L’entreprise mise sur des marchés de niche biologiques.

Viandes du Breton continue de s’adapter au contexte de l’industrie porcine. L’entreprise n’échappe pas à la pénurie de main-d’œuvre ou à la hausse du prix des grains qui touchent les autres joueurs de l’industrie, au niveau mondial.

duBreton a redoublé d’ardeur face à la crise et a décidé d’augmenter la valeur de ses produits :  De nombreux travailleurs internationaux ont été engagés dans la dernière année et des robots ont la charge des tâches plus difficiles.

Le PDG, Vincent Breton, se dit au fait des préoccupations écologiques de la population. Il tient à ce que le porc ne soit pas élevé dans des espaces restreints :

« On essaie de répondre à ces gens-là, pis d’avoir des conditions où on donne trois fois plus d’espace, d’accès à l’extérieur dans le coin du bio. C’est vraiment notre créneau de marché pis notre avenir. Ça fait des produits un petit peu plus chers, mais ça donne vraiment une valeur. »