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De passage à Rivière-du-Loup, Marc Messier se remémore Lance et Compte et Les Boys

Publié le 4 novembre 2022 à 18:39, modifié le 5 novembre 2022 à 09:56

Par: CIMTCHAU

De passage à Rivière-du-Loup pour présenter son spectacle Seul… en scène, notre journaliste sportif a rencontré Marc Messier pour discuter des rôles sportifs marquants qu’il a joué depuis le début de sa grande carrière. Tout le monde se rappelle de Marc Gagnon, le joueur et l’entraîneur du National dans Lance et Compte mais aussi de son personnage Bob Chicoine dans la saga des films et des séries Les Boys.

Auriez-vous cru que le sport allait occuper une place aussi importante dans votre carrière?

«Non, pas du tout! Tout ça est arrivé par hasard. Lance et Compte, ça été très important dans mon parcours alors que j’avais pas fait beaucoup de cinéma quand c’est arrivé. Moi, je suis un maniaque de hockey, donc jouer un joueur de la LNH, c’était extraordinaire. On tournait ça à Québec, au Colisée. On tournait des scènes entre les pratiques des Nordiques et on voyait le club visiteur s’entraîner au Colisée, dont Mario Lemieux.»

Tout le monde qui a fait partie du projet les boys, vous avez été surpris du succès de la à faire quatre films et des séries?

«On souhaitait que ça marche mais ça a pogné au-delà des espérances de tout le monde, d’ailleurs le milieu du cinéma capotait on se demandait si c’était ça le cinéma québécois. Je crois que Les Boys ont été importants et ça fait marcher les salles de cinéma à nouveau.»

La façon de tourner la scène de la dureté du mental, comment ça s’est passé?

«Ça existait le monologue mais moi je suis arrivé avec l’affaire du mental toughness et c’est le scripteur Louis Saia qui a trouvé l’expression la dureté du mental et c’est ça qui a frappé l’imaginaire québécois, la dureté du mental.»

Lequel des deux projets a été le plus marquant pour vous?

«Lance et Compte, ne serait-ce que par la durée, il y a eu neuf saisons et le personnage que je jouais était plus complexe que celui des Boys.»

Le meilleur joueur, Marc Gagnon ou Bob Chicoine?

«Marc Gagnon, sans hésiter. Avec lui, j’ai marqué plusieurs fois 50 buts!»

Nous somme à un match #7 d’une finale, qui gagne entre les Boys et le National?

«Le National, car tu ne finis jamais une série de télé sur une défaite.»