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Grand labyrinthe Kamouraska : des idées de grandeur pour la septième édition

Publié le 3 août 2022 à 16:53, modifié le 3 août 2022 à 16:56

Par: Megan Maltais

Le grand labyrinthe de Kamouraska est de retour, après une pause de deux ans. L’immense parcours est fabriqué dans un champ de maïs à La Pocatière. Il est ouvert depuis dimanche, et déjà, des dizaines de touristes et des personnes de la région se sont prêtés au jeu.

Créé pour la première fois en 2014, dans le cadre de la fête d’Halloween, le grand labyrinthe de Kamouraska avait attiré plus de 6000 personnes. Lorsque Luc Pelletier a présenté le projet au conseil de La Pocatière, il était le seul à voir un réel potentiel.

« J’y croyais déjà, à ce projet-là. Ce n’est pas tout le monde qui a déjà marché dans un champ de maïs, le fait d’être en région et tout ça, on n’est pas dans les grands centres, ça attire beaucoup de gens de l’extérieur. On le voyait déjà en 2014 », explique le concepteur, Luc Pelletier.

8 ans plus tard, le concepteur vise encore le record du monde. Plus de 60 acres plus tard, soit l’équivalent de 60 terrains de football, et des heures de travail, voilà que cet objectif est sur le point de se concrétiser.

L’idée lui ai venu aprèss avoir entendu une conversation entre deux dames.

« Elles s’obstinaient, “il me semble que c’est le plus grand du monde”, et l’autre madame dit que ça ne se pouvait pas, ici, à La Pocatière. Je les entends et je me dis “pourquoi pas? Pourquoi ça ne pourrait pas être ici ce record-là?”. Je leur ai dit, on est le plus grand au Canada, mais un jour on va avoir le record »

Un gros défi

Les quelques courageux qui tentent leur chance sur la totalité du labyrinthe en sortent majoritairement perdant, mais toujours avec de nouveaux souvenirs en poche. « C’est le fun, c’est assez mêlant quand même », lance un participant. « Le parcours 1 est quand même difficile, c’est facile de se perdre », avoue une autre.

Une chose est sûre, le plaisir est toujours de la partie. « Je m’amuse beaucoup avec les gens, c’est ce que j’aime de cette partie-là du labyrinthe, c’est de jaser avec les gens. Souvent, ils partent de l’accueil, ils entrent dans le labyrinthe, ils sont motivés et ils ressortent souvent par l’entrée », plaisante Luc Pelletier.

Parmi tous les participants, moins de 10% sortent du labyrinthe par la sortie.