Un centre-ville qui se dégarnit
Depuis deux ans, de nombreux commerces ferment leurs portes sur la rue principale à Bonaventure. D’autres réduisent leurs heures d’ouverture de façon substantielle. Évidemment le manque de main d’œuvre y est pour quelque chose… Mais la ville peut-elle espérer renverser la vapeur? Patrick Giguère