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Nouvelles

Plus que 80 jours avant le Sommet du G7

Publié le 20 mars 2018 à 16:03, modifié le 20 mars 2018 à 16:03

Par: CIMTCHAU

Le Sommet du G7 à La Malbaie arrive à grands pas. Au bureau de gestion des sommets, on assure que tous les échéanciers sont respectés jusqu’à présent. Rencontre avec la directrice des communications pour faire le point.

Pour rendre le G7 possible, l’organisation a loué le Manoir Richelieu du 27 mai au 12 juin prochain. Il sera donc fermé à la population pendant ces dates.

«Il faut sécuriser les lieux. On a fait vraiment beaucoup de reconnaissance du lieu physique. C’est vraiment une question de tout installer, tout ce qu’on a planifié au niveau de la lumière par exemple, toutes les installations physiques. Certains des employés du Casino vont aussi nous aider à accomplir certaines tâches», explique Alexandra Young.

Les 2000 journalistes attendus couvriront l’événement à distance, au Centre des congrès de Québec. Selon un pool média, une poignée d’entre eux pourra assister à certaines parties du programme à quelques mètres de l’action, soit au Casino de Charlevoix.

«C’est une composante importante pour nous de s’assurer que les médias locaux vont avoir accès à certaines parties du programme. C’est important de comprendre que tout va être diffusé en direct par le diffuseur hôte, au Centre des congrès de Québec», souligne-t-elle.

C’est le bureau de gestion qui se chargera de transporter les journalistes entre Québec et La Malbaie, à bord d’autocars.

«C’est toute une question de sécurité aussi. On ne peut pas nécessairement laisser les médias partir d’un lieu officiel du Sommet et se rendre à un autre lieu officiel de Sommet dans des voitures qui ne sont pas nécessairement sécurisées.»

Chose certaine, les automobilistes croiseront sur les routes 138 et 170 plusieurs douzaines d’autocars pendant l’événement.

«Si on considère aussi les employés du Sommet, les fournisseurs aussi. La deuxième journée du programme, le premier ministre décide d’une thématique. Et à partir de cette thématique, il y a d’autres pays qui sont invités. On appelle ça les pays d’outreach. Si on calcule vraiment toutes ces personnes, ça fait beaucoup de personnes à transporter», avoue Alexandra Young.

Les prochaines semaines s’annoncent chargé pour les 200 personnes qui travaillent au Bureau de gestion des Sommets.

«Au niveau du développement de contenu il y a les rencontres des sherpas qui ont lieu à travers le pays, donc c’est réellement un élément important de la planification. Des rencontres ministérielles aussi s’en viennent.»

Une véritable course contre la montre avant que Charlevoix accueille les dignitaires des plus grandes puissances économiques du pays.