Le conseil veut que Denis Tardif fasse pression auprès de son gouvernement afin de revoir  les chiffres rendus publics par le ministère de la Famille. La semaine dernière, le ministre Mathieu Lacombe insistait pour dire que des places sont disponibles au Bas-Saint-Laurent. Cependant, il existe un écart important entre ces données et celles détenues par les élus, comme l’explique la mairesse.

« C’est autour de 400 places qui nous manquent, puis eux autres, c’est autour de 160. 160 pour eux autres, ce n’est pas problématique. Mais nous autre, quand on est rendu à 400, ça l’est. Ce qu’on veut, c’est que ces chiffres soient validés, confirmés, puis après il va se prendre des décisions beaucoup plus rapide », dit Sylvie Vignet.