Devant la pénurie de places en service de garde au Nouveau-Brunswick, un nouvel organisme voit le jour. Un enfant une place se dévouera à la promotion et la défense des services de garde. L’organisation collaborera avec les autorités provinciales afin de soutenir l’expansion des services de garde à l’enfance à faible coût et la qualité de ceux-ci.  Un accord de financement fédéral-provincial devrait réduire de 50 % les frais de garde pour en arriver à un tarif moyen de dix dollars par jour. Pour y arriver, l’organisme Un enfant, une place souligne que des efforts devront être faits pour trouver du personnel afin de répondre à la demande toujours grandissante.

« L’augmentation des salaires pour les éducatrices, annoncé récemment, est une option prometteuse. Mais la rémunération demeure insuffisante pour convaincre les personnes de travailler dans le secteur des garderies communautaires ou d’y rester bien longtemps. », explique Isabelle Forest, coordonnatrice du projet Un enfant, une place.