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Le Bloc Québécois de l’Est-du-Québec uni pour une réforme de l’assurance-emploi

Publié le 12 octobre 2019 à 15:45, modifié le 12 octobre 2019 à 15:45

Par: Communique de presse

Le candidat du Bloc Québécois pour Rimouski-Neigettes-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, la députée sortante et candidate du Bloc Québécois pour Manicouagan, Marilène Gill, ainsi que les candidats de la cohorte du Bloc Québécois de l’Est-du-Québec, que sont Guy Bernatchez, dans Gaspésie-les-Iles, et Kristina Michaud, dans Avignon-La Mitis-Matane-Matapédia, se solidarisent et prennent l’engagement ferme de travailler de concert afin de mener une réforme du régime de l’assurance-emploi.

« Comme le Québec a besoin d’une voix forte à Ottawa pour défendre ses intérêts, l’Est-du-Québec a besoin d’une équipe de députés bloquistes qui prendront à bras-le-corps ses demandes. Parmi celles-ci se trouve celle, urgente, de réformer le programme de l’assurance-emploi, ce qui n’a pas été fait depuis 15 ans, que tant les Conservateurs que les Libéraux ont saccagé au cours de leurs règnes successifs, jusqu’à menacer nos régions, jusqu’à ce que moins d’un travailleur sur deux puisse avoir accès au régime. C’est une injustice sans nom. Je compte donc m’attaquer à ce dossier pour le mieux-être de notre région », amorce Maxime Blanchette-Joncas.

« Les services à la population, comme plusieurs autres programmes fédéraux, ne sont pas adaptés aux réalités régionales, rurales et saisonnières. Le programme de l’assurance-emploi doit retrouver sa fonction première, soit celle d’assurer une sécurité économique. Pour ce faire, le Bloc Québécois exigera notamment une réelle caisse d’assurance-emploi autonome, une meilleure accessibilité, une hausse du taux de prestation du revenu, l’abolition du délai de carence, une plus longue période de prestations et l’abolition du Tribunal de la sécurité sociale », explique Kristina Michaud.

« Que ce soit pour garantir une sécurité aux travailleurs qui se trouvent en situation de précarité lorsqu’ils perdent leur emploi, parce que n’oublions jamais qu’il s’agit d’une assurance, ou pour contribuer à contrer l’exode de la population et la pénurie de la main-d’oeuvre, cette réforme est plus que nécessaire. Le programme d’assurance emploi a un impact direct sur l’occupation du territoire, ce qui signifie sur la pérennité de nos communautés et de ses industries piliers», poursuit Guy
Bernatchez.