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La Malbaie et Baie-Saint-Paul veulent améliorer l’état de leurs routes

Publié le 24 avril 2018 à 16:03, modifié le 25 avril 2018 à 08:39

Par: CIMTCHAU

Les automobilistes sont nombreux ces jours-ci à se plaindre de l’état de la chaussée dans la plupart des municipalités. Dans Charlevoix, plusieurs travaux auront à être réalisés pour rendre les rues davantage carrossables.

À chaque printemps, les nids de poule réapparaissent. À La Malbaie, plusieurs chantiers débuteront bientôt pour corriger le problème. C’est le cas avec le chemin Mailloux, qui sera amélioré pour 1,5 millions de dollars et de la rue Saint-Philippe.

«C’est une rue qui est désuète, qui avait un classement qui était à refaire. Mais dû aux Bâtisseurs, ça justifie le choix d’aller de l’avant», explique le maire de La Malbaie, Michel Couturier.

Un autre 4 M$ sera nécessaire pour la réfection de d’autres secteurs. «On est en train de tout briser nos suspensions de voitures. Ça n’a pas de sens», déplore un citoyen.

«Le boulevard Kane, il y a une partie qui avait été faite, et là on fait 1,3 kilomètre supplémentaire sur ce boulevard, qui en a bien besoin. Et une partie de la rue Nairne. Ce sont trois champs de bataille ces routes, et là on peut confirmer le projet», se réjouit le maire.

Les travaux seront toutefois mis sur pause pendant le G7.

 

Du côté de Baie-Saint-Paul, le chemin Saint-Laurent cause bien des maux de tête au maire Jean Fortin. «Ça date des dizaines d’années qu’il a été refait. On ne se le cachera pas, c’est un gros dossier, parce qu’il y a des problèmes, certaines courbes. Et en même temps on a des travaux, on le sait, la question des berges de la rivière du Gouffre se rapprochent du chemin et nous on va avoir des travaux de sécurisation à faire», mentionne le maire, Jean Fortin.

La Ville espère recevoir une aide financière de Québec, qui pourrait payer 75% de la facture, grâce à un programme pour rendre plus sécuritaire des routes locales.

«À date on n’a aucun signal. Si on avait une réponse positive et qu’on est prêt à aller de l’avant, peut-être qu’on pourrait commencer les travaux à l’automne. De toute façon, même si on n’a pas une participation gouvernementale, il va falloir penser faire quelque chose d’ici deux ans», ajoute-t-il.

Chose certaine, les automobilistes pousseront sûrement un soupir de soulagement une fois que ces améliorations seront complétées.