En 2018, les techniques d’enquête de la GRC ont permis de relier l’individu à des sites de téléchargement de matériel de pornographie juvénile. Ce sont plus de 200 images et 150 vidéos dans lesquels on y voit des enfants être victimes d’exploitation sexuelle qui ont été saisis dans ses ordinateurs personnels.

L’accusé a avoué sa culpabilité dès la perquisition initiale à sa demeure au printemps 2019. La Couronne réclame 15 mois d’emprisonnement alors que la Défense a suggéré une peine d’un an.

La même accusation déposée antérieurement à l’endroit de Brock Tardif a été retirée par la Cour. –30–