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Nouvelles

Il y aura bientôt du « glamping » à la ZEC Chapais

Publié le 20 avril 2019 à 11:00, modifié le 18 avril 2019 à 16:26

Par: Communique de presse

Les amoureux de la nature sauvage et de confort pourront allier ces deux expériences grâce aux premières tentes à camper de type « glamping » qui seront installées sur la ZEC Chapais dès cet été. La première tente sera située du côté nord du lac Sainte-Anne et la seconde au lac Blanc. Trois nouveaux sites de types rustiques seront également aménagés au lac Grosse-Truite, à l’Étang de l’Écluse et au nord du lac Sainte-Anne.

Lors de sa dernière assemblée générale annuelle, tenue à la fin mars, le conseil d’administration mentionnait aux membres son intention de diversifier les activités de l’organisation avec le déploiement de nouvelles offres, dont celle de la pêche blanche dès la prochaine saison hivernale. La ZEC souhaite aussi intéresser la relève avec une nouvelle activité d’initiation de chasse au petit gibier. L’activité utilisera une formule similaire à la Journée d’initiation à la pêche qui se déroule en juin depuis quelques années et qui sera de retour cette année sur le lac du Président.

Gratuité pour les jeunes de 18 ans et moins
La ZEC Chapais est la deuxième ZEC au Québec à offrir dès cette année des activités de pêche et de chasse à tous les types de gibier, et ce tout à fait gratuitement aux moins de 18 ans selon des conditions précises :

Être accompagné d’un adulte de 25 ans et plus au moment de l’activité
L’adulte accompagnateur doit pratiquer l’activité avec le jeune
L’adulte peut accompagner un seul jeune à la fois
L’accompagnateur et le jeune doivent détenir les permis requis pour l’activité
Respecter les lois et règlements en vigueur

Sondage dans les postes d’accueil
Les usagers de la ZEC Chapais seront sondés dans les prochaines semaines. Notre organisation souhaite recueillir votre opinion à l’aide d’un sondage qui sera disponible dans nos postes d’accueil sur le sujet suivant : « Êtes-vous d’accord pour que la Société de gestion de la faune de Kamouraska investisse du temps et de l’argent pour faire une étude, avec l’aide d’une firme spécialisée, sur l’impact économique et l’impact sur le cheptel d’orignaux d’une réduction du nombre de permis exigible par bête abattue, soit de passer de 3 à 2 permis et aussi d’envisager l’abandon de la protection du veau lors des années restrictives ? »