C’est la conclusion de la Commission de police du Nouveau-Brunswick qui a fait connaître sa décision ce matin.

Elle explique qu’un manque de preuves permet de démontrer que l’agent a enfreint le Code de déontologie professionnelle. La Commission de police avait entamé un examen à la suite d’une plainte.

L’organisme indique par voie de communiqué que des problèmes ont été soulevés lors de l’enquête mais qu’ils ne relèvent pas du mandat de la Commission.

Le président Marc Léger affirme que son organisation est prête à collaborer lors de l’enquête du coroner en février prochain.

La Force policière d’Edmundston confirme que le policier impliqué dans cette histoire pourra reprendre ses fonctions de constable-patrouilleur.