M. Caron a, dès le départ, mis cartes sur table en présentant ses propositions concernant des thèmes régionaux. Il a parlé du transfert des fermes familiales et des PME, de l’agriculture, de
la pénurie de main d’oeuvre, de l’assurance-emploi, de transport régional, d’infrastructure et
surtout de télécommunications, sans oublier l’importante lutte aux changements climatiques.

« On ne peut pas faire campagne en envoyant des communiqués qui répètent ce que son chef
a dit le matin. Au contraire, il faut démontrer que l’on comprend la réalité de la région et exposer ses idées devant les médias et la population. J’ai toujours fait des campagnes positives, tout en propositions. C’est ce que j’ai fait encore cette année ».

Le député sortant est heureux de l’appui de l’ex-députée bloquiste, Suzanne Tremblay. « Il n’était pas garanti que Suzanne m’appuie. Rappelons-nous qu’en 2014, elle avait appuyé Marie-Neige Besner de Québec Solidaire, mais qu’elle avait appuyé Harold Lebel du Parti québécois en 2018. C’est une femme indépendante d’esprit, hautement respectée, et qui connaît la réalité du travail parlementaire ».

Guy Caron juge que le bilan de ses deux mandats parle par lui-même et qu’il est évident qu’il
est le seul candidat dans cette campagne qui a proposé un vrai plan et des mesures qui feront
une différence à court terme dans la région.

« En votant pour moi, les électeur.trices choisiront un député d’expérience, qui a fait ses preuves et obtenu des résultats pour la circonscription depuis huit ans, même dans l’opposition. Je pourrai, dès le 22 octobre, poursuivre l’important travail de défendre les intérêts de la région à Ottawa ».